[PP-discussions] eradiction de la pub (resistance à l'agression /invasion /colonisation publicitaire... )

renc rencontres3 at gmail.com
Mar 25 Nov 11:24:11 CET 2014


.
bien sur le raisonnable serait plutôt de se pencher sur
.


mais pour les fans de distractions comme  le communiqué à tout va, où le
micro micro micro point de programme à améliorer avant tout...
proposons la distraction/dispersion  du jour avec cet article ..

qui, au passage,  offre quelques omissions et biais:
- contre l'idée imho stupide et de pure propagande intégriste/citoyenniste
(pléonasme;-)  qu'il faudrait 'élire' qui que ce soit ..
- et celle non moins débile qui consiste à  attribuer à un individu (Ultra
personnification et culte du chef...)  le fruit du travail d'une équipe
- oubli de ce que la publicité n'est que le fait de faire payer par
l'acheteur des produits,
   (ce qu'ils appellent couramment le con-citoyen ou le con-sommateur...
    (on n'a jamais vu un patron sortir de sa poche ni les frais de pub ni
les charges sociales... )
une  sorte de taxe,... incluse dans le coût des produits... celle ci
 nourrissant quelques parasites et leur permettant de polluer leurs
voisins... et plutôt  gravement ...au passage  ..


je n'ai pas recherché pour l'instant si le pp s'était déjà penché sur le
problème de la pollution publicitaire...
 intégrer les propositions du rap serait sûrement une bonne chose
(résistance à l'agression publicitaire)

Btw,  déjà noté et un peu oublié... pour leur relance post-vacances... ,
 on pourrait sûrement inviter un jour à un LO, le pape des anti-pub.. un de
mes anciens profs devenu copain... qui officie dans le Diplo sous le nom
choisi par lui de  francois brune ...

Proposer des mesures de transition..  si nous ne pouvons passer à
l'abolition direct.. ce qui serait tellement plus agréable ...

  Ah...  sortie de la pollution mentale 'économie' abandon direct de argent
commerce travail...
partage simple d'abondance co-cueillie ou co-crée...
 Ou au moins  tant que non abolis les circuits pourris
economie-entreprises-travail ..
Pistes à débattre... genre...

Bons systèmes  collectifs...  qui par exemple manquent si cruellement au
développement des logiciels dits 'libres' ou des projets de  hacklabs et
FabLabs... recueil préalable des besoins réels  et collecte partage des
ressources disponibles en
compétences moyens humains et matériels ...
orientation collective à pallier les éventuels manques etc..
Et bien sûr...
une éradication de la publicité au profit de la seule information technique
et concrète...
sur d'austeres panneaux de taille limitée
ou ds une presse où...
 tout ce qui dépasse le corps 12 et la monochromie     (sauf images
strictement nécessaire à la description du produit..
  et sans  filles déguisées en putes... ou  paysages de rêve...
  pour pousser à la surconsommation.. )
serait strictement proscrit ...

...ah l'article omet de dire  que la ville de Grenoble compense cette
non-rentrée directe de la prostitution-pollution decaux par une simple
réduction de ses frais chapitre petits-fours et protocole...

... donc l'article...


http://an-2000.blogs.liberation.fr/2014/11/24/publicite-et-si-la-decision-deric-piolle-etait-transposable-au-web/


.
....Internet, pour en finir avec les pubs
<http://an-2000.blogs.liberation.fr/2014/11/24/publicite-et-si-la-decision-deric-piolle-etait-transposable-au-web/>

VINCENT GLAD <http://an-2000.blogs.liberation.fr/auteurs/Vincent/> 24
NOVEMBRE 2014

(MISE À JOUR : 25 NOVEMBRE 2014)
[image: Élisons Éric Piolle maire d'Internet, pour en finir avec les
pubs]Élisons
Éric Piolle maire d'Internet, pour en finir avec les pubs

Le maire de Grenoble vient de briser un tabou en proposant de supprimer la
publicité dans sa ville. On fait quand la même chose sur Internet ?

Le nouveau maire écologiste de Grenoble, Eric Piolle, a fait sensation en
annonçant
<http://www.liberation.fr/economie/2014/11/23/inedit-en-europe-grenoble-va-bannir-la-publicite-de-ses-rues_1149000>
que
sa municipalité allait renoncer aux panneaux publicitaires dans la rue en
rompant son contrat avec JC Decaux. À la place de ces 2.051 mètres carrés
d’espaces publicitaire, la ville prévoit de planter une cinquantaine
arbres. Grenoble s’assoit ainsi sur un contrat de 600.000 euros par an (ou
150.000 selon les interprétations
<http://www.liberation.fr/economie/2014/11/24/a-grenoble-des-arbres-a-la-place-des-panneaux-de-pub_1149671>)
qu’il faudra bien compenser d’une manière ou d’une autre.


(compte Twitter d’Eric Piolle
<https://twitter.com/EricPiolle/status/536592918946283521>)

Des arbres à la place de la pub, la proposition est d’un romantisme qu’on
n’avait plus vu en politique depuis Nicolas Sarkozy qui imaginait sans
doute de l’opéra à la place de Patrick Sébastien en supprimant la pub sur
le service public.

L’idée d’Eric Piolle me fait en tout cas penser au web, où cette question
de la visibilité de la publicité est de plus en plus prégnante. Le logiciel
Adblock <https://adblockplus.org/fr/>, installé sur les navigateurs,bloquerait
maintenant <http://www.uda.fr/Lettre_annonceurs_uda/2014_10/a-suivre.html>
entre
15% à 20% des pubs sur le web et menace à moyen terme le modèle économique
gratuit de nombre de sites web.

Eric Piolle, l’Adblock grenoblois?

J’ai bien évidemment (comme nombre de gens qui vivent de la pub...)
installé Adblock sur mon ordi, pour me sentir libre et affranchi comme un
citoyen grenoblois. Je parcours des kilomètres de sites web sans croiser
une seule pub, oubliant ainsi de payer mon obole aux éditeurs de contenu.

Eric Piolle n’est pas un Adblock grenoblois, un pirate du temps de cerveau
disponible mais un politique qui fait un choix économique en faisant payer
indirectement au contribuable la facture publicitaire. Si l’on transposait
le modèle Piolle à l’Internet, ce serait plutôt ce top-tweet posté par un
designer allemand en août dernier.


*Pour éliminer toute publicité d’Internet, il suffirait que chaque
internaute paye 1,89$ par mois par internaute. Ce n’est pas impossible.*

Michael Burgstahler propose donc une «licence globale
<http://fr.wikipedia.org/wiki/Licence_globale>» de la publicité : et si on
payait forfaitairement les éditeurs de contenu chaque mois pour ne plus
avoir de publicité du tout ? C’est exactement ce que fait Eric Piolle à
Grenoble en faisant prendre en charge par la collectivité ce gain de
qualité de vie.

Le calcul de Michael Burgstahler est très rudimentaire: il a simplement
divisé le revenu généré par la publicité en ligne par le nombre
d’internautes dans le monde. La réflexion est sans doute assez naïve mais
elle a le mérite de poser franchement la question : a t-on vraiment besoin
de ces horribles bannières publicitaires sur nos Internets ? Et quels
seraient les arbres que nous planterions à la place ?

Hasard du calendrier, Google vient de lancer Contributor
<http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/11/23/google-lance-son-contributor_1149239>,
un nouveau programme qui matérialise cette «licence globale» de la
publicité (à la différence notable que c’est un acteur privé qui gère le
système, comme le déplore Affordance
<http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2014/11/funding-the-web.html>).
L’internaute peut verser une somme modique de son choix, entre 1 et 3
dollars par mois, pour faire sauter les pubs Google sur les sites qui
participent à l’opération. L’entreprise reverse ensuite une partie de cette
somme aux sites les plus visités. Eric Piolle ou Google, faites votre choix.

*Edit 25/11/2014, 0h35: ajout du dernier paragraphe.*
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